Extrait de mon discours du Palais des fêtes du 19 mars .

Chers amis,

4 jours nous séparent du 1^er tour d’une belle campagne, commencée il y a 5 mois.

Pendant ces 5 mois, nous avons rencontré des milliers de sparnaciens, dans nos réunions, sur les marchés, à notre permanence, pendant les distributions de nos journaux de campagne et de nos tracts.

Nous avons parcouru des dizaines de kilomètres, dans tout Epernay, et nous avons toujours reçu un accueil chaleureux, de la part des sparnaciens.

Nous avons ressenti un rejet du maire sortant, et des partis politiques traditionnels, comme le PS, l’UMP, l’UDI et du parti communiste.

Ce soir est donc le dernier meeting du 1^er tour et je vous remercie de votre présence, en espérant vous revoir mercredi prochain même endroit, même heure.

Je voulais aussi remercier Jérémie pour m’avoir fait confiance et remercier tous les colistiers, car nous venons de vivre une belle aventure que nous mettrons au service des sparnaciens dès le 1^er avril, si vous nous faites confiance.

Je voulais également souhaiter un bon anniversaire à Jérémie, qui fête aujourd’hui, avec vous, ses 38 ans, l’âge auquel Franck Leroy a été élu maire pour la 1^ère fois, ce qui est sûrement un signe.

Oui, la victoire est à portée de mains et nous nous battons pour y parvenir, pour enfin améliorer, la vie des 23.888 sparnaciens.

Pour essayer de nous affaiblir, nos concurrents disent partout que nous sommes une liste d’extrême gauche, ou de gauche pour certains,  d’extrême droite, ou de droite pour d’autres, mais cela nous indiffère, car nous sommes tout simplement une liste conduite par Jérémie Thévenin qui n’a jamais caché son appartenance au mouvement républicain et citoyen de Jean-Pierre Chevènement, puis avec Maud ROTMAMN et Angélique Raphose, qui viennent du Parti socialiste, de Michel De Lillo, un gaulliste social et de moi même, Chevènementiste depuis 40 ans.

 Il reste donc 31 colistiers sans étiquette politique, qui viennent de la société civile avec des compétences solides dans tous les domaines (finances, santé, social, investissements, etc.…et à qui Jérémie n’a demandé qu’une seule chose, s’investir dans une liste qui servira l’intérêt général.

Alors, c’est sûr, nous gênons nos concurrents, et entre nous, c’est ce qui fait notre force.