Jacky Blavier responsable du
comité « OBJECTIF 2020 »
Vendredi 6 juin 2014
70ème
anniversaire du débarquement allié
Rendez-vous à
Epernay : 18h45 Place Mendès-France devant la stèle Patton
Venez nombreux
Tout d’abord je déplore le manque d’information de la mairie et l’absence du Maire, du Député et du Sous-préfet à la journée nationale de la Résistance le 27 mai à Epernay.
Je pense que le rôle d’une municipalité est de faire en
sorte que ces cérémonies commémoratives permettent à tous les citoyens et
notamment aux jeunes générations , de mieux connaître l’histoire de leur pays
et les grandes dates qui ont marqué notre histoire.
Elles sont un moment de renouvellement, de respect, de
souvenir de tous les sparnaciens.
Nous devons attacher une importance particulière au
devoir de mémoire et amplifier les cérémonies commémoratives en étroite
collaboration avec les associations patriotiques, la sous-préfecture, l’office
national des anciens combattants, la population et les écoliers qui doivent
être associés à toutes ces cérémonies.
Ancrer le
passé dans les mémoires était dans le projet de notre liste « Un
projet, une alternative pour les sparnaciens » conduite par Jérémie
Thévenin.
Pour ce souvenir de cette journée
historique.
Depuis l’année 1942, les Alliés se préparaient à
débarquer en Europe. C’est au cours de l’année 1943, qu’ils décidèrent que ce
débarquement aurait lieu sur les côtes normandes et non sur celles du Pas de
Calais.
Ce débarquement en Normandie qui porte le nom de code « opération Neptune », est la première étape de « l’Opération Overlord », dont le but est de libérer l’Europe.
Ce débarquement en Normandie qui porte le nom de code « opération Neptune », est la première étape de « l’Opération Overlord », dont le but est de libérer l’Europe.
Il y a
chronologiquement trois étapes
dans le déroulement de l’opération de débarquement : Tout d’abord,
les débarquements par air. Ensuite, les bombardements aériens et navals. Enfin,
les débarquements par échouage sur la côte.
Les débarquements par air
Les parachutages sont effectués aux deux extrémités du secteur de débarquement afin de protéger sur chaque flanc l’offensive alliée qui doit venir par mer. Entre minuit et une heure du matin, les 82e et 101e divisions aéroportées américaines sont parachutées dans le secteur de Ste Mère Eglise (dans la Manche), tandis que la 6e division aéroportée britannique doit atterrir dans le secteur de Ranville.
Bombardements aériens et navals
Toujours dans la nuit du 5 au 6 juin, 2 000 bombardiers environ déversent près de 8000 tonnes
d’engins explosifs sur les batteries d’artillerie allemandes de la zone
d’assaut. Ces bombardements sont relayés à l’aube, par l’artillerie
navale. Cette flotte commence à tirer une demi-heure avant la mise à terre des
troupes.
Le débarquement par mer
5 secteurs de débarquement ont été définis. Utah et
Omaha, situés de part et d’autre de l’estuaire de la Vire, dans la baie des
Veys, ont été attribués à la 1ère armée américaine du Gal Bradley, tandis que
l’armée britannique, composée entre autres de canadiens, débarque sur les 3
secteurs baptisés Gold, Juno et Sword, 3 secteurs qui s’étendent d’Arromanches
à Ouistreham. En raison des variations de la marée, les débarquements par mer
devaient s’effectuer avec des décalages : les débarquements étaient prévus
à 6h30 (matin) sur les plages Utah et Omaha, et à 7h30 sur les plages Gold,
Juno et Sword.
Pour le général Eisenhower, commandant en chef de
l’opération depuis décembre 1943, l’un des objectifs prioritaires est la prise du port de Cherbourg. C’est pour cette raison qu’il
décide d’ajouter une plage de débarquement sur la côte orientale du Cotentin,
car initialement le débarquement devait avoir lieu entre Grandcamp et
Courseulles. Puisqu’un débarquement est prévu à Utah, un débarquement sur la
plage d’Omaha est inévitable, car il est inconcevable de laisser un trou béant
entre Utah et les plages dévolues aux britanniques. Malgré les risques
encourus, notamment à cause de la configuration, on ne pouvait renoncer à
débarquer à Omaha, n’ayant nul autre endroit se prêtant à un débarquement entre
l’embouchure de la Vire et Arromanches.
Toujours dans la nuit du 5 au 6 juin, 2 000 bombardiers environ déversent près de 8000 tonnes
d’engins explosifs sur les batteries d’artillerie allemandes de la zone
d’assaut. Ces bombardements sont relayés à l’aube, par l’artillerie
navale. Cette flotte commence à tirer une demi-heure avant la mise à terre des
troupes.
Cette liberté a un prix élevé : elle coûta
la vie à de nombreux soldats venus se battre à des kilomètres de chez eux, elle
coûta également la vie à 20 000 civils pris sous les bombardements qui
détruisirent un grand nombre de villes et villages normands.
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