jeudi 31 juillet 2014

Mon coup de gueule suite au JT de 13 heures sur France 2

Bravo la parité.

Mon coup de gueule suite au JT de 13 heures sur France 2.

A 13 heures le présentateur était  un homme et puis  les 4 commentateurs, encore des hommes .
Bravo France 2 pour la parité..

Quelle connerie la guerre.Jacques Prévert



La triste réalité


Il y a 100 ans Jaurès était assassiné.


Il y a 100 ans Jean Jaurès était assassiné.

L’assassinat de Jean Jaurès a lieu le vendredi 31 juillet 1914 à 21 h 40, alors qu’il dîne au café du Croissant, rue Montmartre, dans le 2e arrondissement de Paris, au cœur de la République du Croissant, à deux pas du siège de son journal, L’Humanité. Il est atteint par deux coups de feu : une balle perfore son crâne et l’autre se fiche dans une boiserie. Le célèbre tribun s’effondre, mortellement atteint.
Commis trois jours avant l'entrée de la France dans la Première Guerre mondiale, ce meurtre met un terme aux efforts désespérés que Jaurès avait entrepris depuis l’attentat de Sarajevo pour empêcher la déflagration militaire en Europe. Il précipite le ralliement de la majorité de la gauche française à l’Union sacrée, y compris beaucoup de socialistes et de syndicalistes qui refusaient jusque-là de soutenir la guerre. Cette Union sacrée n’existe plus en 1919 lorsque son assassin, Raoul Villain, est acquitté. Le transfert des cendres de Jaurès au Panthéon, en 1924, souligne une autre rupture politique intervenue au sein de la gauche, entre communistes et socialistes.
Cet Homme restera un exemple pour notre jeunesse.

vendredi 11 juillet 2014

Présence de policiers à chevaux

Communiqué de Jacky Blavier, responsable du comité « OBJECTIF 2020 »

Mon blog politique : Jacky Blavier.blogspot.com

Mon Facebook : Jacky Blavier



Dans le projet de Jérémie Thévenin pour les élections  municipales de mars 2014, j’avais prévu dans le cadre de la sécurité, la présence de policiers à chevaux pour les manifestations sportives et festives.
Je constate que pour le départ du tour de France ces policiers à chevaux étaient présents.
Pourtant à l’époque, certains de nos concurrents nous avaient critiqués.

Vous constaterez dans les mois à venir que dans beaucoup de domaines nous avions un bon projet.

jeudi 10 juillet 2014

Etre Français pour avoir le droit de vote .

Communiqué de Jean-Luc Laurent, Président du MRC et député du Val-de-Marne, mercredi 9 juillet 2014


A l’occasion de la réunion de majorité organisée au siège du Parti Socialiste ce mercredi 9 juillet, à laquelle le MRC participait, a été proposée la mise en place cet automne d’un comité national pour le droit de vote des étrangers. Le MRC est défavorable à cette campagne nostalgique et ne s’y associera pas. 

Souvent présenté comme un progrès démocratique, l’octroi du droit de vote aux étrangers aux élections locales aurait en réalité pour effet la création de citoyens de seconde zone, contraire au modèle républicain de notre pays qui lie étroitement citoyenneté et nationalité. La citoyenneté n’a pas vocation à être « saucissonnée » : elle constitue un ensemble indivisible de droits et devoirs. La France n’a pas besoin ni d’une sous-citoyenneté ni d’une citoyenneté locale. C’est par une politique active de la nationalité que nous donnerons légitimement le droit de vote à tous ceux qui désirent devenir français. Avec les personnes immigrées et leurs enfants, la République doit se donner les moyens de pleinement fabriquer des Français.

Le Président de la République lui-même l’avait signalé : il n’existe pas de majorité dans le pays à l’heure actuelle pour l’adoption du droit de vote des étrangers. Il serait inopportun d’imposer au pays un débat d’une autre époque, qui ne constitue pas une priorité politique aux yeux des Français. 

mardi 8 juillet 2014

Notre fête nationale

Jacky Blavier responsable du comité « OBJECTIF 2020 »
Histoire de notre fête nationale :
Le 14 juillet 1789 : la prise de la Bastille
La fête nationale commémore d'abord le 14 juillet 1789, première journée révolutionnaire à portée symbolique. Cet été là, une grande agitation règne à Paris. Face au mécontentement populaire, le roi a réuni les Etats généraux, une assemblée des représentants de la noblesse, du clergé et du tiers-état. Ces derniers demandent une réforme profonde des institutions et, le 9 juillet, se proclament Assemblée nationale constituante. 
L'initiative inquiète le roi qui fait venir en secret des régiments suisses et allemands à proximité de Versailles. La rumeur court bientôt que les troupes royales se préparent à entrer dans Paris pour arrêter les députés. Le 12 juillet, un orateur harangue la foule qu'il appelle à réagir : c'est Camille Desmoulins, monté sur un tonneau, qui annonce une "Saint Barthélemy des patriotes". Au matin du 14 juillet, des Parisiens en colère vont chercher des armes aux Invalides, puis se dirigent vers la vieille forteresse royale de la Bastille, en quête de poudre. 
Après une journée de fusillade sanglante, et grâce au ralliement de gardes nationaux, les Parisiens s'en emparent et entament sa démolition. Au final, ils ne libèrent que quelques prisonniers et malfrats sans envergure. Mais cette vieille prison médiévale incarne l'arbitraire de l'Ancien régime. En l'abattant, les Parisiens font tomber un rempart de l'absolutisme. Et cette journée, qui marque le début de la Révolution, restera dans les mémoires comme un jour de liberté. Cependant la fête nationale fait aussi référence à un autre événement moins connu : la fête de la Fédération du 14 juillet 1790.
Le 14 juillet 1790 : fête de la Fédération
Depuis l'été 1789, partout dans les provinces françaises, se sont créées des "fédérations" régionales de gardes nationaux. Une réaction à l'affaiblissement du pouvoir central. Afin de contrôler ce mouvement spontané, la Commune de Paris, sous l'impulsion de Lafayette, décide de fonder une grande Fédération nationale regroupant des représentants des fédérations locales et de les réunir à Paris le 14 juillet. La cérémonie est censée célébrer la prise de la Bastille, mais aussi apporter un semblant d'ordre et d'unité dans un pays en crise. Le jour dit, 14 000 soldats fédérés arrivent donc à Paris et défilent sous la bannière de leur département, de la Bastille jusqu'au Champ-de-Mars.
Sur une esplanade aménagée pour l'occasion, une grande messe est célébrée, à la suite de quoi le roi Louis XVI jure de maintenir "la Constitution décidée par l'Assemblée nationale". Les 400 000 Parisiens présents ce jour-là acclament leur souverain : la monarchie n'est donc pas remise en cause. L'aspiration à l'union nationale triomphe et la cérémonie se transforme en grande fête populaire. Mais la réconciliation nationale sera de courte durée. Deux ans plus tard, le roi est arrêté et condamné à mort.
1880 : le 14 juillet devient fête nationale
Pendant près d'un siècle, la commémoration du 14 juillet est abandonnée. Elle réapparaît en 1880, sous la IIIe République. Le régime, pour se consolider, cherche à construire un nouvel imaginaire national, autour de symboles républicains. C'est ainsi que la Marseillaise devient hymne officiel et le 14 juillet fête nationale. Mais la proposition qui émane du député de la Seine Benjamin Raspail n'est pas accueillie unanimement par l'Assemblée. Certains députés mettent en cause la violence du 14 juillet 1789. Et c'est finalement autour du 14 juillet 1790 que se fait le consensus.
En 1880, pour la première fête nationale, la République fait les choses en grand. Le ministre de l'Intérieur prescrit aux préfets de veiller à ce que cette journée "soit célébrée avec autant d'éclat que le comportent les ressources locales". Un défilé militaire est organisé sur l'hippodrome de Longchamp devant 300 000 spectateurs, en présence du Président Jules Grévy. Il s'agit de montrer le redressement de l'armée française après la défaite contre la Prusse en 1870. Ce défilé militaire, toujours en vigueur, s'inspire aussi du défilé des gardes fédérés de 1790.

Cette année là, on inaugure également le monument surmonté de la statue de la place de la République, et partout sont donnés concerts et feux d'artifices. "La colonne de Juillet" qui surplombe la place de la Bastille, elle, ne se réfère pas au 14 juillet 1789. Elle porte le nom des victimes des journées révolutionnaire de juillet 1830, les "Trois glorieuses".

Jacky dans le quotidien régional l'Union


jeudi 3 juillet 2014

Transition énergétique



Transition énergétique : ramener la part du nucléaire à 50% n'est pas un objectif réaliste.

Par Gérard Pierre, Secrétaire national du MRC à l'énergie, jeudi 3 juillet 2014.
Lors du conseil des ministres du 18 juin Madame Ségolène Royal, Ministre de l’Ecologie, du Développement Durable et de l’Energie a présenté un projet de loi pour un nouveau modèle énergétique français, intitulé « Réussir la transition énergétique ». 
Ce projet se donne cinq objectifs : 
1.réduire les émissions de gaz à effet de serre françaises pour contribuer à l’objectif européen de baisse de 40 % de ces émissions en 2030 (par rapport à la référence 1990) ;
 
2.diminuer de 30 % notre consommation d’énergies fossiles en 2030 ;
 
3.ramener la part du nucléaire à 50 % de la production d’électricité en 2025 ;
 
4.porter en 2030 la part des énergies renouvelables à 32 % de notre consommation énergétique finale, soit 40 % de l’électricité produite, 38 % de la chaleur consommée et 15 % des carburants utilisés ;
 
5.diviser par deux notre consommation finale d’énergie d’ici 2050.
 
Réduire les émissions de gaz à effet de serre et diminuer notre consommation d’énergies fossiles est en effet indispensable pour maintenir le changement climatique dans des limites supportables et diminuer notre consommation d’énergies fossiles est tout aussi indispensable pour participer au rétablissement de notre balance commerciale.
 
Mais ramener la part du nucléaire à 50 % impose une contrainte supplémentaire tout à fait incompatible avec les deux premiers objectifs. En effet la production d’électricité nucléaire ne rejette pas de gaz à effet de serre et diminuer sa production demandera de trouver des sources énergétiques alternatives pour produire de l’électricité. L’Allemagne a souhaité sortir du nucléaire et a déjà arrêté certains de ses réacteurs. Le résultat ne s’est pas fait attendre : augmentation du prix de l’électricité, 2 fois celui de la France et augmentation de 12 % des émissions de CO2 alors que chaque Allemand en émet déjà 60 % de plus que chaque Français.


Pour des raisons écologiques et économiques, seuls les 2 premiers objectifs devraient être engagés. Bien que la réduction du nucléaire soit une proposition du candidat Hollande issu d’un accord électoral, il serait dans l’intérêt de la France de surseoir à cette proposition afin de contenir les coûts de production de nos entreprises et de maintenir le pouvoir d’achat des Français. 
Augmenter la part des renouvelables est utile en particulier pour produire de la chaleur, mais importer des panneaux photovoltaïques pour produire de l’électricité plus chère qui se substituera à la production nucléaire également produite sans CO2 ne présente, contrairement à l’Allemagne, aucun intérêt en France.
Notre consommation énergétique individuelle est actuellement semblable à celle d’un Allemand. Même si faire des économies d’énergie est indispensable, diviser par 2 notre consommation finale d’énergie nous mettra au niveau d’un Chinois, d’un Argentin ou d’un Chilien. Il est peu vraisemblable que cet objectif se fasse sans dommage pour notre système économique et donc pour notre niveau de vie.
 

TOUS ENSEMBLE.

     JACKY BLAVIER, responsable du comité « OBJECTIF 2020 »

                                              Tous ensemble

A nos concurrents des municipales, j’ai déjà eu je crois, l’occasion de le dire : j’apprécie les liens amicaux qui nous unissent, au delà de nos divergences politiques. Il est vrai que les valeurs qui nous sont communes comptent beaucoup plus que nos divergences.
Je propose donc qu’avec Franck Leroy, Jérémie Thévenin, Jean-Paul Angers, Marc Lefevre, Alain Lairé, Sébastien Durançois et tous leurs colistiers des municipales, de vivre ensemble dans un endroit de diffusion du 1 /4 de finale France –Allemagne, la victoire des bleus, puis de faire la fête avec les Sparnaciens dans les rue d’Epernay.

ALLEZ LA FRANCE.