jeudi 26 mai 2016

Les Sages en déplacement à Troyes.


                                       Jacky Blavier, membre du conseil des Sages.                   

   Les Sages en déplacement  à Troyes.   Je vous donne ma réflexion personnelle.

Une délégation du conseil des Sages d’Epernay composée de Delphine Grojean, responsable du service Animation du CCAS, de Jean-Jacques Lacam, rapporteur de la commission cadre de vie au conseil des Sages, de Christian Tassy et de moi-même, membres du conseil des Sages avons été reçus  à l’Hôtel de ville de Troyes par Sophie Calvo ,directrice commerce « Pôle urbanisme et patrimoine à la ville de Troyes » et par Rémi Gillier « chargé de la gestion du domaine public en matière d’évènementiel », pour voir comment la ville de Troyes valorise les vitrines et enseignes fermées. Le but de notre voyage sur Troyes était de voir comment mettre en place une action identique sur notre ville, afin de  valoriser les vitrines de commerces fermés et  de combler le vide de commerces vacants, en mettant l’art en vitrine.

Après un recensement auprès des commerçants,  des propriétaires et des agences immobilières, la ville de Troyes a signé une convention entre les  propriétaires de commerces fermés et plus d’une soixantaine d’artistes, pour une action sur plusieurs mois.

Evidemment, il est préférable  qu’un commerce vide soit repris par une autre enseigne, mais en attendant, cette action a pour but de faire découvrir les artistes locaux, de donner une  image plus valorisante de la ville, et bien plus agréable pour le regard du passant.

Nous avons envisagé plusieurs pistes qui seront soumises à la prochaine commission cadre de vie, en sachant que le conseil des Sages propose, mais que c’est le Maire et les élus(es) qui décident.

La première piste : Mettre des œuvres d’artistes dans les vitrines (Il me semble possible de travailler en étroite collaboration avec l’Espace Chromatic qui a déjà testé les vitrines éphémères sur Epernay).

La deuxième piste : Mettre en place sur les vitrines des vitrophanies « trompe -l’œil » qui mettent en valeur le patrimoine sparnacien.

Et pourquoi ne pas réfléchir à une taxe « par un arrêté municipal » sur les commerces fermés depuis un an ou plus ? Cela permettrait  une incitation à relouer au plus vite et pourquoi pas une baisse du prix de la location.

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