D’accord avec les propos d’Arnaud
Montebourg sur le bilan de François Hollande et du gouvernement, mais pour ma
part il y à longtemps que je ne crois plus aux discours des socialistes, de
Montebourg et des autres.
Extrait du discours de Montebourg du 21.08.2016
«Si je suis candidat au rassemblement d'une majorité de
Français, c'est d'abord parce qu'il m'est impossible, comme à des millions de
Français, de soutenir l'actuel président de la République. (...) En vérité, je
n'aurais pas dû être là devant vous à proposer un projet alternatif car pour
moi, l'alternative était celle que nous avions cru mettre au pouvoir il y a
quatre ans», a-t-il lâché. Et de se tourner vers l'actuel locataire de
l'Elysée, qui pourrait être tenté par la candidature à un deuxième mandat: «Je
lui demande de bien réfléchir à sa décision, de bien considérer les faits, de
prendre en compte l'intérêt supérieur du pays, la faiblesse inédite et
historique qui est la sienne au regard des Français, d'affronter sa conscience
et sa responsabilité et de prendre la bonne décision». Et d'ajouter que «le
pays est économiquement et moralement en danger (et) le temps n'est plus à
l'immobilisme, à la tergiversation ou à la synthèse molle».
Extrait du discours de Montebourg du 21.08.2016
«Si je suis candidat au rassemblement d'une majorité de
Français, c'est d'abord parce qu'il m'est impossible, comme à des millions de
Français, de soutenir l'actuel président de la République. (...) En vérité, je
n'aurais pas dû être là devant vous à proposer un projet alternatif car pour
moi, l'alternative était celle que nous avions cru mettre au pouvoir il y a
quatre ans», a-t-il lâché. Et de se tourner vers l'actuel locataire de
l'Elysée, qui pourrait être tenté par la candidature à un deuxième mandat: «Je
lui demande de bien réfléchir à sa décision, de bien considérer les faits, de
prendre en compte l'intérêt supérieur du pays, la faiblesse inédite et
historique qui est la sienne au regard des Français, d'affronter sa conscience
et sa responsabilité et de prendre la bonne décision». Et d'ajouter que «le
pays est économiquement et moralement en danger (et) le temps n'est plus à
l'immobilisme, à la tergiversation ou à la synthèse molle».
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