Quelques
extraits de l’intervention de Bastien Faudot, candidat du MRC à l’élection
présidentielle de 2017.
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Bastien
Faudot à plaidé pour une "nationalisation de l'euro", c'est-à-dire
que le peuple français puisse reconquérir "des outils de
souveraineté" parmi lesquels, la monnaie.
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Le
discours du Bourget de Jean-Pierre Chevènement en 2001 n’a pas pris une ride.
Je retiens aussi l’expression de Philippe Séguin « La gauche et la droite
de gouvernement sont des détaillants qui se fournissent auprès du même grossiste,
Bruxelles.
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Une
grande partie de l’électorat s’est détournée des partis de gauche et pas
seulement du PS, car elle n’a pas accepté l’abandon de la nation et de ses
symboles par une gauche pour laquelle la nation était devenue quelque chose de
honteux.
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Six
semaines après son élection, François Hollande a abdiqué en refusant de faire
se qu’il avait dit « Renégocier le traité européen pour y insérer la
question sociale »
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Le
MRC a décidé que nous aurions une candidature en 2017 pour défendre un projet
original et singulier à gauche qui consiste à porter la question nationale pour
organiser la reconquête de la souveraineté du peuple français", a expliqué
M. Faudot vendredi à l'AFP. Selon lui, "aujourd'hui le débat est
verrouillé (...) sous l'effet de plusieurs chantages, le chantage au Front
national, le chantage à la dette, et le chantage à la guerre depuis que nous
avons été victimes d'attentats terroristes".
Déplorant que François Hollande ait "choisi de ne pas tenir sa promesse" de campagne de renégocier le traité budgétaire européen, il a estimé que le texte avait permis de "constitutionnaliser des contenus de politique économique".
Déplorant que François Hollande ait "choisi de ne pas tenir sa promesse" de campagne de renégocier le traité budgétaire européen, il a estimé que le texte avait permis de "constitutionnaliser des contenus de politique économique".
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Or, "au nom de la dette, au nom de cet
impératif-là, on refuse de voir comment, par quelle autre solution qu'une simple logique
comptable, nous pourrions redresser ce pays, organiser comme projet le plein
emploi, retrouver la croissance", a argumenté M. Faudot.
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