Depuis Charlie Hebdo,
rien n’a été fait.
Seize   mois après la série d’attaques d’islamistes
qui visaient la rédaction de Charlie hebdo, des policiers et les clients de la
supérette cacher, rien n’a été fait. Les mêmes salauds ont été  en mesure de recommencer le 13 novembre  avec 130 morts, des dizaines de blessés, des
personnes traumatisées à vie  et des
familles en deuil. Nouvel attentat  le 14
juillet à Nice, jour de notre fête nationale ou un camion conduit par un
islamiste écrase et tue 84 personnes innocentes avec également des dizaines de
blessés. Puis à nouveau mardi 26 juillet 
un détenu en liberté  fiché S affilié
 à Daech   à
égorgé dans son église le père Jacques Hamel, un homme qui n’avait
jamais fait de mal à une mouche.
Il faut savoir qu’il est  possible 
aujourd’hui en France d’être en lien avec un réseau terroriste, de
partir en Syrie et de revenir facilement.
Il est aujourd’hui possible en France
pour les personnes ayant une fiche  «  S », de circuler
librement.
Rien n’a été fait pour fermer plus d’une
centaine de mosquées salafistes recensées en France, et dont une bonne
quarantaine serait sous l’emprise de leaders salafistes. Le mouvement salafiste
compterait entre 20 000 et 30 000 adeptes en France. « La grande
majorité des  musulmans sont les
premières victimes de ces agissements ».
Rien n’a été fait pour le contrôle aux
frontières, chez nous et en Europe.
Rien n’a été fait pour l’expulsion des
binationaux coupables de faits graves.
Rien n’a été fait  pour notre sécurité, car il est facile pour
un terroriste de pénétrer dans l’Union européenne en se mêlant aux
migrants.   
Assez de discours, des actes.




