mercredi 30 novembre 2016

En 2002, Chevènement souhaitait un rassemblement des Républicains des deux rives.


En 2002, Chevènement souhaitait un rassemblement des Républicains des deux rives.

Avant de recevoir Jean-Pierre Chevènement candidat à l’élection présidentielle de 2002  à Reims, j’avais invité pour   une conférence de presse à Reims et  Châlons en Champagne  deux anciens ministres, Anicet le Pors, ministre communiste de François Mitterrand et Jean Charbonnel, ministre du général De Gaulle. Tous les deux soutiens de Jean-Pierre Chevènement. Nous avons terminés cette journée par une réunion publique au Palais des fêtes d’Epernay, devant une centaine de personnes.

Quelques mois après j’étais candidat du Pôle Républicain de Chevènement  sur la 6eme circonscription de la Marne.

 Parmi les candidats Apolline de Mallerbe journaliste, aujourd’hui sur  BFM Après des études de lettres, elle passe un DEA de sociologie politique et un master en service public. Engagée politiquement, elle soutient la candidature de Jean-Pierre Chevènement en 2002.

Natacha Polony,Elle devient, en juin 2001, secrétaire nationale du Mouvement des citoyens (MDC) aux questions de société, puis membre du bureau du Pôle républicain, chargée du droit des femmes. En juin 2002, elle est candidate aux législatives pour le Pôle républicain de Jean-Pierre Chevènement, dans la 9e circonscription de Paris.

Mais également François Berléand, acteur, Patrick Besson, écrivain, Dominique Cabrera, cinéaste, Edmonde Charles-Roux, présidente de l'académie Goncourt
Jean Clair, historien d'art, Catherine Clément, écrivain, Pierre Combescot, écrivain, Régis Debray, intellectuel, Jean Dutourd, écrivain  , Max Gallo, historien, Louis Gallois, PDG de la SNCF, Alain Gomez, ancien PDG de Thomson, Eric Halphen, magistrat, MichelHouellebecq, écrivain, Bernadette Lafont, actrice,  André S. Labarthe, cinéaste, Sébastien Laplaque, écrivain, Jean-Hervé Lorenzi, économiste, Jean-Pierre Mocky, réalisateur, Roland Moreno, entrepreneur , Tobie Nathan, psychiatre, Dominique Noguez, écrivain, Ernest Pignon-Ernest, peintre, Angelo Rinaldi, académicien, Pierre-André Taguieff, historien des idées, philosophe, politologue, directeur de recherche au CNRS, François Taillandier, écrivain, Marc Veyrat, chef cuisinier.                                       

Edmonde Charles-Roux - Lucie et Raymond Aubrac - Christian Bauer (équipe de France de sabre) - Jeannine Bazin – Roland,Bertin (sociétaire de la Comédie française) - Guillaume Bigot (enseignant, écrivain) - Anne-Marie Blanzat (cantatrice) - Pierre de

 

B o i s d e ff re (écrivain) - Guy Bois (historien) - Jacques-Marie Bourget (journaliste) - Jacqueline Bourget-Merakchi (universitaire) -

 

François Bouvier (universitaire) - Gaël Brustier (Appel d’R) - Henri Caillavet Dominique Cabrera (cinéaste) - Joseph Ciccolini(avocat) - Jean-Claude Chesnais (démographe) - Catherine Clément (philosophe) - Jean Clair (conservateur) - Jean-Pierre Clapin,

 

(Conseiller honoraire du CES) - Philippe Cohen (journaliste) - Robert Colonna d’Istria (historien) - Pierre Combescot (écrivain) -Jean-François Colosimo (théologien) - Guy Coq - Charles Coutel (universitaire) - Pierre Dabezies - Régis Debray - Michel Delorm e

 

(Éditeur) - Béatrice Decoster-Mallet (nouvelle union démocratique du travail) - François Devoucoux-du-Buysson (écrivain essayiste)- Marc Espié (médecin) - Marc Ferro (historien) - Michel Fichant (philosophe) - Max Gallo - Pierre-Marie Gallois (général cr) -Françoise Gaillard (philosophe) - Claude Gaucherand (contre-amiral cr) - Gilbert Gross (ancien résistant) - Patrick Guiol (univers

 

i t a i re) - Guy Hennebel (directeur de la revue Panoramiques) - Edouard Husson (historien) - Dominique Jamet (journaliste) -

 

Patrick Kessel - Marcelo Kohen (universitaire) - André S. Labarthe (cinéaste) - Gérard Lafay (économiste) - Bernadette Lafont(Comédienne) - François Lardeau (vice-président de l’Académie du Gaullisme) - Dominique Lecourt - Jean Lelong (arbitre internationalde hand ball) - Robert Longeon-Delassiste (chercheur) - Marcel Marçais (ancien administrateur) - Jean Maçon (journ aliste)- David Martin-Castelnau (Génération république) - Pierre Maillard (Ambassadeur de France) - Pierre-Marie Merillon(Ambassadeur de France) - Claude Marti (conseiller en communication) - Jérome Maucourant (universitaire) - Jean-Luc Menet( u n i v e r s i t a i re) - Roland Monnet (enseignant) - Paul Montcornet (essayiste) - François Morvan (cancérologue) - Claude Nicolet( m e m b re de l’Institut) - Jean-Jacques Payan (ancien directeur général du CNRS) - Henri Pena-Ruiz (philosophe) - Jean-ClaudeP errot (responsable associatif) - Emmanuel Pierrat (avocat, éditeur) - Ernest Pignon-Ernest (artiste plasticien) - Etienne Pion (re sponsablede mouvements laïcs) - Gérard Prigent (commandeur des cordons bleus) - Jean Pourcin (universitaire) - René-Vi c t o r

 

Pilhes (écrivain) - Serge Rechter (économiste) - Robert Redeker (philosophe) - Laurent Roth (cinéaste) - Gaëtan de Royer (cerc l eSaint-Just) - Jean-Pierre Rozelot (scientifique) - Jacques Ruffié (membre de l’Institut) - Danièle Sallenave (universitaire, écrivain)- Albert Salon (ancien ambassadeur) - Marie-Claire Scamaroni - Yohan Senez (cercle Saint-Just) - Pierre-André Ta g u i e ff (universitaire) - François Taillandier (écrivain) - Arsène Tchakarian (officier de la résistance, groupe Manouchian) - François Teillet - MichelTroper (universitaire) - Claude Truchot (universitaire) - Hassan Zaoual (vice-président de Cultures d’Euro p e )

 

Conférence de presse pour la mise en place de la Carte Séniors

Ce matin j'ai participé avec mes collègues du Conseil des Sages , Delphine Grojean du CCAS et Candie Lheureux adjointe au Maire, à une conférence de presse dans les salons de l'Hôtel de ville d'Epernay, pour le lancement de la Carte Séniors.
Encore MERCI à Delphine pour son professionnalisme et son dynamisme.

lundi 28 novembre 2016

J’apporte mon soutien aux artisans –commerçants victimes du RSI.


Jacky Blavier : artisan coiffeur – styliste de 1975 à 2011.

J’apporte mon soutien aux artisans –commerçants victimes du RSI.

Depuis plusieurs années, les travailleurs indépendants se plaignent de la mauvaise gestion de leur régime social. Lenteurs, erreurs de calcul... De son côté, le gouvernement rejette les critiques formulées par les manifestants.

samedi 26 novembre 2016

Vendredi 25 novembre j'ai participé à l'Espace Chromatic au vernissage de l'Artiste Clotilde Valentin.

Vendredi 25 novembre j'ai participé à l'Espace Chromatic au vernissage de l'Artiste Clotilde Valentin.
Un super bon moment avec de nombreux amis(es). Merci Clotilde pour cette belle expo et à toi Patricia pour ta belle action pour ton savoir faire pour la promotion des artistes.

vendredi 25 novembre 2016

Pour Sylvie et Nathalie du salon Atmosphère coiffure, enfin une lueur d’espoir dans leur cauchemar.


JACKY BLAVIER

Président du comité « OBJECTIF 2020 ».

Président du « GCB » Groupement commercial Hôpital-Bachelin de 1999 à 2011.

Conseiller municipal et communautaire de 1995 à 2008.

Blog: Jacky Blavierblogspot.com

Facebook : Jacky Blavier

Twitter: Jacky Blavier

 

Pour Sylvie et Nathalie du salon Atmosphère coiffure, enfin une lueur d’espoir dans leur cauchemar.

En fin de semaine dernière, suite à la mise en ligne sur mon Facebook du message  de détresse de Sylvie et Nathalie du salon Atmosphère, j’ai rédigé un communiqué que j’ai mis en ligne sur les réseaux sociaux, sur mon blog Jacky Blavierblogspot.com et que j’ai adressé aux journalistes de l’Hebdo du Vendredi et de l’Union.

Suite à mon intervention, ma page Facebook ainsi que celle d’Atmosphère coiffure ont  reçu  des dizaines de partages  et de commentaires de soutien pour ces coiffeuses, mais également  de colère face  à cette situation. Merci aussi à ceux qui n’ont pas hésité à s’impliquer et à partager leurs connaissances et à informer les coiffeuses de leurs droits.

Les journalistes ont pris rendez-vous mercredi avec Sylvie et Nathalie, et ce matin l’Hebdo du Vendredi a sorti un article intitulé « Les travaux de la rue des Huguenots pourrissent la vie du salon de coiffure » et l’Union un article en première page   intitulé » les coiffeuses en ont ras le bol » et en page 7, une page entière sous le titre « S.O.S coiffeuses en détresse ».

 J’avais également posé une question à Franck Leroy, Maire d’Epernay : Pourquoi Franck ne pas mettre un panneau "commerce ouvert pendant les travaux" aux entrées de rues et pourquoi ne pas rendre une petite visite de courtoisie aux deux coiffeuses, alors que tu habites à quelques mètres.

Mon vœu est  exaucé car Jacques Fromm, l’adjoint au commerce a rendu visite aux coiffeuses hier après-midi, des panneaux « commerce ouvert pendant les travaux » ont été mis à chaque entrée de rue et ce matin  la rue et les trottoirs sont enfin praticables.

Je serai vigilent pour que les délais soient respectés et que Sylvie, Nathalie et les riverains profitent pleinement de cette belle rue des Huguenots.

Ci-dessous le mail adressé aux journalistes le samedi 19 novembre 2016 :

 A l’attention  du quotidien  l’Union et de l’Hebdo du Vendredi.

Bonjour,

De plus en plus de Sparnaciens me demandent d’intervenir auprès des élus (es) afin de les alerter sur les  difficultés qu’ils subissent.

Aujourd’hui, c’est le cas désespéré de ces deux coiffeuses du salon Atmosphère Coiffure,  rue des Huguenots à Epernay.

Depuis fin juin, cette rue est fermée à la circulation sur plus de 150 mètres et toute la journée ce sont les bruits des engins, les fermetures de gaz, l’accès au salon est quasiment impossible, voire dangereux. Résultat : le chiffre d’affaire dégringole  en flèche et le salon perd de la clientèle chaque jour. Les travaux devaient être terminés pour la rentrée des classes et suite à ma première intervention, le maire avait promis que tout serait terminé fin octobre.

Pourquoi les travaux s’éternisent-ils dans cette rue, alors que dans la rue des Jancelins, rue adjacente, les travaux ont débuté en même temps, le jour des vacances d’été et cette même rue des jancelins a bien été rouverte pour la rentrée des classes ? Pourquoi oublier cette petite rue? Et les riverains, comment font-ils pour accéder à leur domicile ?

Contrairement à ce qu’affirmait le maire, à ce jour, la route est toujours fermée.

Cinq mois pour refaire partiellement une rue, est-ce un délai raisonnable ? 

Aujourd’hui, j’ai rendu visite à ces coiffeuses qui sont écœurées et ont peur pour leur avenir. Elles se demandent  également si la rue va ouvrir à nouveau en décembre pour les fêtes.

Je vous adresse ci-dessous la lettre envoyée au Maire par ces coiffeuses.

Bien cordialement

vendredi 18 novembre 2016

Le calvaire des deux coiffeuses de la rue des Huguenots


 

A l’attention  du quotidien  l’Union et de l’Hebdo du Vendredi.

Bonjour,

De plus en plus de Sparnaciens me demandent d’intervenir auprès des élus (es) afin de les alerter sur les  difficultés qu’ils subissent.

Aujourd’hui, c’est le cas désespéré de ces deux coiffeuses du salon Atmosphère Coiffure,  rue des Huguenots à Epernay.

Depuis fin juin, cette rue est fermée à la circulation sur plus de 150 mètres et toute la journée ce sont les bruits des engins, les fermetures de gaz, l’accès au salon est quasiment impossible, voire dangereux. Résultat : le chiffre d’affaire dégringole  en flèche et le salon perd de la clientèle chaque jour. Les travaux devaient être terminés pour la rentrée des classes et suite à ma première intervention, le maire avait promis que tout serait terminé fin octobre.

Pourquoi les travaux s’éternisent-ils dans cette rue, alors que dans la rue des Jancelins, rue adjacente, les travaux ont débuté en même temps, le jour des vacances d’été et cette même rue des jancelins a bien été rouverte pour la rentrée des classes ? Pourquoi oublier cette petite rue? Et les riverains, comment font-ils pour accéder à leur domicile ?

Contrairement à ce qu’affirmait le maire, à ce jour, la route est toujours fermée.

Cinq mois pour refaire partiellement une rue, est-ce un délai raisonnable ? 

Aujourd’hui, j’ai rendu visite à ces coiffeuses qui sont écœurées et ont peur pour leur avenir. Elles se demandent  également si la rue va ouvrir à nouveau en décembre pour les fêtes.

Je vous adresse ci-dessous la lettre envoyée au Maire par ces coiffeuses.

Bien cordialement

JACKY BLAVIER

 

Lettre adressée au Maire par les coiffeuses :

Bonjour Mr Le Maire , je reviens vers vous , après de nombreux désagréments que m'apportent les travaux dans notre rue des Huguenots , obligation pour notre clientèle de descendre dans les tranchées pour accéder au salon , les camions bloquant l'entrée , aucune signalétique au bout des rues disant que notre commerce reste ouvert pendant les travaux , dans une période économique peu favorable , des gravillons amenés par la clientèle , qui abiment notre parquet flottant , des travaux qui devraient être finis depuis longtemps , et j'en passe , une baisse de chiffre d'affaire de 1860 € sur la même période entre 2015 et 2016 et ce n'est pas terminé ! Une question me taraude, comptez vous faire quelque chose pour la survie de notre entreprise, et bien sûr je parle sur le plan financier, comme vous nous l'avez si bien dit, cela sera un mauvais souvenir, mais je ne suis pas sûr que ma cogérante divorcée avec deux enfants à charge pense la même chose que vous, quand on ne pourra pas se verser de salaire ! Et moi de même ! Alors Monsieur Le Maire qu'allez vous faire pour nous ? Vous remerciant par avance de l'importance que vous donnerez à notre détresse ! Bien cordialement !

Les petites coiffeuses oubliées de la rue des Huguenots !

 

Photos rue des huguenots ci-dessous :

jeudi 17 novembre 2016

Pauvre PS, plus de militants, plus d’électeurs, et maintenant Marine Le Pen qui lui pique la rose.


Pauvre PS, plus de militants, plus d’électeurs, et maintenant Marine Le Pen qui lui pique la rose.

Ça sent la mort prochaine et tant mieux.

mercredi 16 novembre 2016

Pour être élu Président de la République en 2017, pas besoin d'être un ancien président, un ancien 1er ministre ou un ancien ministre.


Pour être élu Président de la République en 2017, pas besoin d'être un ancien président, un ancien 1er ministre ou un ancien ministre.
Juste avoir un projet et une vision pour la France.

La primaire à droite est une escroquerie, mais la primaire à gauche également, car la primaire est un combat pour devenir  le chef d’un clan, alors qu’un candidat ou une candidate  à l’élection présidentielle doit-être une personnalité charismatique, capable de rassembler des électeurs issus de toutes les franges de la population autour de son projet pour la France et de sa place en Europe et dans le monde.

Le candidat ou la candidate à l’élection présidentielle doit être en capacité à rassembler et montrer qu’il mesure les conséquences de ses propositions et qu’il  ou elle sera capable de les mettre en œuvre.

Le candidat ou la candidate à l’élection présidentielle doit être honnête en ayant le courage de dire la et doivent cesser de faire des promesses intenables à répétition, en sachant qu’elles sont irréalisables.

Le triste talent oratoire de  Hollande ou Sarkozy ne doit pas être utilisé pour maquiller la pauvreté  du projet de ces deux candidats du passé, car c’est l’avenir de la France qui en dépend.

mardi 15 novembre 2016

Je fais part de mon inquiétude pour l'absence de lieu de restauration.


Dans l’article de Margaud Déclemy journaliste au quotidien régional l’Union, la Mairie présente son projet d’ouverture de la nouvelle résidence André Chenier qui remplacera celle de la rue de la Cité.

Dans cette démarche que j’approuve, je fais voir ma différence sur l’absence de lieu de restauration dans cette nouvelle résidence ,car j’ai des inquiétudes pour les pensionnaires qui seront obligés de sortir par tous les temps, pluie, verglas, neige, canicule.

Je me pose également la question : Que faire de l'emplacement acheté il y a plusieurs années par la ville à l'emplacement de l’ancien  cinéma  le Tivoli,  pour y construire cette résidence.

lundi 14 novembre 2016

l’exposition « Exprime ta solidarité »


J’ai participé à l’inauguration et à la remise des prix de l’exposition « Exprime ta solidarité » Projet à l’initiative de la commission solidarité du conseil des Sages de la Ville d’Epernay. Félicitations à Marie Choquet, rapporteur de la commission solidarité et aux participants.

La soirée s’est poursuivie par la distribution des prix. Ainsi le Hameau champenois, l’école Sainte-Marie et la Ferme de l’Hôpital se partagent le podium.

La soirée se termine par la flûte de l’amitié.

jeudi 10 novembre 2016

Réponse de Candie Lheureux suite à mon article.

Réponse de Candie Lheureux suite à mon article: Jacky suite à notre entrevue d'hier je pensais que tu allais rectifier ton post ou ton blog, hors ce n'est pas le cas.......je ne peux pas te laisser dire n'importe quoi! NON nous n'allons pas construire une maison de retraite (nouveau nom d'ailleurs si on vit avec son temps EHPAD, Etablissement d’Hébergement pour personnes âgées dépendantes) NON , nous allons construire une résidence "AUTONOMIE" à savoir conçue pour les personnes de 60 ans et plus autonomes , retraitées qui ne veulent plus rester seules chez elles pour diverses raisons que je ne vais pas exposer sur ce post et qui souhaitent vivre de manière indépendante car elles seront chez elles, c'est leurs logements......, bénéficier d'un logement plus sécurisé (surveillance 24h/24, 7jours/7 jours ) et de plus les logement sont équipés de cuisine et de salle de douche aménagées ......et bien sûr pour leur bien être ils amènent leurs meubles et heureusement!!!!!!!!!

mercredi 9 novembre 2016

Ouverture d’une maison de retraite pour remplacer la Résidence André Chenier.

Ouverture d’une maison de retraite pour remplacer la Résidence André Chenier
Située au 85, rue de la Cité, la résidence André Chenier  propose 38 appartements non meublés, en location. La résidence propose des activités et la restauration du midi pour agrémenter et faciliter la vie des résidants.
La ville a décidé de construire dans le centre ville proche de la résidence le Cèdre, une future   résidence pour remplacer la résidence Chenier devenue  vieillissante et éloignée des commodités du centre ville «  commerces, cinéma, poste, marché, animations etc. J’approuve cette démarche que je défends depuis de nombreuses années.
 
Par contre, je déplore que, dans ce nouveau lieu de vie qui va se construire, il n’est pas prévu d’emplacement pour la restauration du midi.
 
Les pensionnaires seront obligés  de sortir par tous les temps, pluie, neige, verglas, canicule, pour se rendre chaque jour à la résidence le Cèdre à quelques dizaines de mètres. J’imagine mal les personnes ayant des difficultés à se déplacer, mais étant, malgré tout, autonomes, faire ce trajet. Et que dire des personnes ayant une mauvaise vue marchant sur les trottoirs d’Epernay… C’est tout simplement accroître le risque d’accident, alors même qu’une salle collective est prévue dans ce futur bâtiment. Seulement, cette salle n’est pas prévue pour la restauration, seulement pour des activités.
 
J’espère que Candie Lheureux, l’adjointe chargée des Séniors, admirée par tous les résidants et qui, depuis des années se dévoue au quotidien, mettant tout son cœur et ses tripes pour le bien-être de nos Séniors, réussira à faire bouger les choses. Pour ma part je l’espère et j’y crois.
 
Par contre, je trouve dommage que personne ne soit intervenu en conseil municipal sur cette aberration. Il faut dire que dans la majorité municipale tous les élus(es) suivent le chef sans jamais poser de questions. Quant aux élus(es) de l’opposition ce sont des nostalgiques du passé  «  contournement d’Epernay, piscine de Bernon », disparition du 13ème RG etc. Pour tout cela nous ne pouvons plus revenir en arrière, il faut donc réfléchir au présent et au futur, ce que j’essaie de faire à mon modeste niveau.
 
Les Sparnaciens se contrefichent des chamailleries de nos élus(es) sur des sujets ridicules, ce qu’ils veulent ce sont des actions comme je le fais avec mon combat pour améliorer la vie des usagers de la SNCF,  mon combat pour le commissariat et mon soutien aux forces de l’ordre,  mon combat pour l’hôpital et les services publics, et aujourd’hui pour l’installation d’une salle de restauration dans la future maison de retraite.
 
 
 

vendredi 4 novembre 2016

Mon interview à l'Hebdo du Vendredi par le journaliste Simon Ksiazenicki


Réunion du Conseil des Sages au château de Pierry.


 

Jeudi 3 novembre, j’ai participé  au Conseil des Sages dans le magnifique Château de Pierry. Avec mes collègues nous avons fait le point sur les projets en cours «  carte Séniors, mettre l’Art dans les vitrines de commerces fermés, parcours de randonnées pédestres autour d’Epernay » etc.

Grâce au Maitre des lieux notre ami Jean-Paul Gobillard nous avons effectué la visite de cette demeure édifiée en 1734 par Monseigneur de Choiseul Beaupré, évêque de Châlons-en-Champagne et pair de France. Jean-Paul Gobillard nous à ouvert les portes des petits appartements et salons de réception. Ma pièce préférée reste l’endroit consacré à Napoléon. Nous avons terminé par la visite de son jardin anglais et de ses dépendances viti-vinicoles et par une dégustation d’un excellent champagne de la maison Gobillard. Un grand merci à notre ami Jean-Paul.

jeudi 3 novembre 2016

Dand l'Hebdo du Vendredi ,Jacky Blavier relance son combat pour le commissariat


Jacky Blavier, ancien conseiller municipal, se plaît à rappeler qu'il avait obtenu des résultats auprès du ministre de l'Intérieur, en 2000. (© L’Hebdo du Vendredi)


Jacky Blavier relance son combat pour le commissariat

L'état du poste de police d'Epernay préoccupe l'ancien conseiller municipal. Il appelle le maire d'Epernay et les élus marnais à agir concrètement auprès des ministres de l'Intérieur et du Budget.


C’est un serpent de mer à Epernay depuis le début des années 2000 qui n’a connu quasiment aucune évolution depuis : la réfection du commissariat. Le bâtiment du XIXe siècle se trouve dans un tel état de décrépitude que le maire d’Epernay, Franck Leroy, et l’ancien conseiller municipal de gauche, Jacky Blavier, tirent le même constat. « Cet édifice se dégrade d’année en année, estime ce dernier. A l’accueil, il est impossible pour le public de garder la confidentialité, les bureaux des fonctionnaires sont dans un état lamentable, les cellules de garde à vue sont insalubres et les façades extérieures sont dégradées et deviennent dangereuses. » Le premier édile d’Epernay, lui, avait fait part de remarques similaires au Premier ministre, Manuel Valls, lors de son passage dans la capitale du champagne le mois dernier. « L’état de cet équipement est indigne, à la fois pour les fonctionnaires de police qui y travaillent, mais aussi pour les citoyens qui le fréquentent. Un projet de rénovation/extension a été défini par les services du ministère de l’Intérieur, il y a plusieurs années. Il importe maintenant que celui-ci soit enfin inscrit dans la programmation pluriannuelle des projets retenus au plan national. »
Pour Jacky Blavier, cette déclaration ne suffit pas. Désormais membre du Conseil des sages d'Epernay, l’ancien conseiller municipal estime que les élus locaux doivent unir leurs forces pour faire aboutir ce projet de réfection. « En l’an 2000, alors que je n’étais que conseiller municipal, j’avais obtenu de Jean-Pierre Chevènement l’arrivée au commissariat d’un brigadier de police et de quatre gardiens de la paix, se souvient fièrement celui qui était un proche du ministre de l’Intérieur de l’époque. Je voudrais qu’aujourd’hui, la sénatrice Françoise Férat, le sénateur René-Paul Savary, le député Philippe Martin et le maire Franck Leroy se rendent dans les bureaux des ministres de l’Intérieur et du Budget, avec un état des lieux du commissariat. S’ils y vont tous ensemble, ils auront plus de poids. »
Tous issus de la droite ou du centre-droit, ces quatre élus ne s’entendent pas forcément comme larrons en foire. « Je sais que c’est difficile de réunir Franck Leroy et Philippe Martin qui se tirent dans les pattes mais il n’y a plus de temps à perdre, cela fait plus de 20 ans que ce dossier traîne. » A l’heure où Bernard Cazeneuve a récemment dévoilé un plan de sécurité publique, qui prévoit notamment une enveloppe pour financer des travaux dans les commissariats, afin de calmer la grogne des fonctionnaires de police, Epernay espère ne pas être, une fois de plus, laissé sur le carreau.

Simon Ksiazenicki

mercredi 2 novembre 2016

Mon interview par Margaud Déclemy journaliste au quotidien régional l'Union

Mon interview par Margaud Déclemy journaliste au quotidien régional l'Union ,sur le commissariat d'Epernay. Lors de cet interview chez moi, nous avons abordé d'autres thèmes comme l'avenir des Berges de la Marne avec un lieu dédié à la mémoire des cheminots pendant la résistance et après, de la transformation de l'esplanade Charles De Gaulle et de nombreux sujets.