dimanche 31 janvier 2016

Meeting d'investiture du candidat du MRC à la Présidentielle de 2017


                       Communiqué de  presse de Jacky Blavier

Jérémie Thévenin, membre du bureau national du MRC, Candidat à l’élection municipale de 2014 à Epernay

Jacky Blavier, Président du comité »OBJECTIF 2020 », Président de la Fédération de la Marne du MRC de 2001 à 2010

   Participeront le 7 février 2016  à 14 h au Meeting d’investiture de :

                   Bastien Faudot

       Candidat du MRC à l’élection présidentielle de 2017

            Au Cabaret sauvage. Parc de la Villette à Paris

Aménagement des Berges de Marne


Berges de la Marne

Quelques idées du  projet que nous avions pour  les élections municipales de 2014  avec notre candidat Jérémie Thévenin , afin de   faire revivre l’emplacement de l’ancien quartier des ateliers SNCF.

( plus de 14 HECTARES) que le Maire souhaite offrir aux promoteurs privés pour en faire un quartier Margueritte bis, alors qu’il y a sur notre ville plus 1200 logements en vides ( selon l’INSEE )et des dizaines de commerces fermés.
Nombre de logements vacants sur Epernay :
En 2000: 181 logements
En 2008: 260 logements
En 2013: 935
En 2014: 1200 logements vacants.
La révision du Plan local d’urbanisme est l’occasion de repenser notre ville en définissant l’utilisation de l’espace.
Dans ce nouveau quartier qui va remplacer les ateliers SNCF (plus de 2000 salariés après la guerre) fermés à cause du manque de volonté politique des élus depuis des dizaines d’années doit aujourd’hui revivre.
- Création d’un grand parc paysagé.
- Aménagement d’un parking de proximité.
- Constructions de maisons mitoyennes économes en énergie et en cohérence avec le bâti Sparnacien et des services de proximités.
- Création d’un musée de l’histoire industrielle des chemins de fers d’Epernay.
- Pépinières d’entreprises, etc.

 

Mon entretien avec Margaud Déclemy ,journaliste au Journal l'Union- L'Ardennais


Mon interview  par Margaud  Déclemy du journal L’Union – L’Ardennais. 29.01.2016

SNCF, le cauchemar des usagers de la ligne  Epernay-Paris, aller -  retour.           

Gros problèmes de retard ou de suppression de trains de dernières minutes, sur la ligne Epernay-Paris «  aller-retour ».

J’ai constaté cette anomalie   en conduisant ma femme, enseignante  spécialisée, actuellement en formation sur Paris.

Les problèmes ne datent pas d’aujourd’hui, (Aux dires d’un agent SNCF et des usagers).

Il y a un problème depuis l’arrivée du TGV au détriment des TER (train express régional).

Les problèmes de la ligne TER vallée de la Marne ne datent pas d’aujourd’hui, mais de bien plus longtemps (au moins 9 ans). Ils ont commencés avec l’arrivée du TGV Est et le déclassement de l’ancienne grande ligne TER.

Depuis les usagers n’ont pu que constater la lente dégradation du service, malgré les échanges réguliers avec la direction de la ligne, et l’existence de nombreuses associations d’usagers des différentes villes traversées.

Et cela se concrétise par le manque de moyens pour  les TER, pour l’entretien des matériels et des voies, par la fermeture des petites gares.

Par la suppression à partir de février de la « Borne jaune » en gare d’Epernay. Cette borne était pratique pour obtenir un billet aux heures de fermeture des guichets.

Exemple des deux semaines écoulées :

Lundi 18 janvier : annulation du train de 7h32 pour Paris. Les voyageurs doivent prendre un TER pour Reims afin de  récupérer le TGV pour Paris. Une fois à Reims, ce tgv était lui aussi en retard. Train initialement annoncé avec un retard de 5 minutes, puis 15 minutes et enfin 30 minutes. Cependant, alors que la SNCF annonçait 5 minutes de retard, une collègue de ma femme qui avait pris ce tgv de Charleville-Mézières nous informait elle que ce tgv avait 35 à 40 minutes de retard et qu’ils étaient bloqués.

Mercredi 20 janvier : retard de plus de 30 minutes du train de 8h33 au départ d’Epernay.

Vendredi 22 janvier : retard de plus d’une demi-heure du train de 17h36 au départ de Paris.

Lundi 25 janvier : Annulation du train de 7h 32. Dans le hall de gare, un agent de la SNCF informe les voyageurs qu’ils n’ont pas le droit de prendre le ter pour Reims, puis le tgv à Reims. Quai B, le chef de gare déconseille de partir sur Reims prendre le tgv, car il est complet et il n’y a aucune place assise. Les gens partent quand même sur Reims et réussissent à monter à bord, puis vers Dormans il s’immobilise de nombreuses minutes. Résultat ; arrivée à Paris avec plus de 15 minutes de retard.

Mardi 26 janvier : train de 6h30 au départ en gare d’Epernay .Il est annoncé avec un retard de 45 minutes.

Jeudi 28 janvier : encore 15 minutes de retard à cause d’un panneau de signalisation à Meaux. Installation vieillissante ou mal entretenu.

Entre ces deux dates, retards dans les deux sens de plus de 30 minutes. Et souvent sans aucune explication.

J’ai vu des usagers en colère comme un certain Thierry, qui prend ce train depuis des années et qui constate cette anomalie fréquemment, et pire encore depuis quelques mois.

J’ai vu une femme en larmes, car son employeur menace de la licencier si ses retards dans l’entreprise ne s’arrangent pas.

J’ai vu un chef de gare, qui le pauvre en prend plein la figure et qui nous dit, que c’est comme cela depuis les fêtes, et il ajoute, en fait depuis plus d’un an.

A Epernay, il n’y a pas de plan B comme à Château-Thierry ou  les usagers on la possibilité de prendre un train dit de banlieue avec arrêt à toutes les gares entre Château Thierry et Meaux puis direct Paris.

Je me pose des questions que devrait se poser la SNCF :

1° : quelles sont les solutions alternatives pour faire face à ce problème.

2° : quelle vision à la SNCF pour l’avenir, avec la concurrence qui arrive.

3° : que fait la région qui finance grassement  les transports (avec l’argent du contribuable) pour que l’on ait  un service de qualité. Nos impôts doivent servir à l’amélioration  de nos services publics et non à l’enrichissement personnel de nos élus.

Je m’adresse au directeur de la SNCF pour qu’il se justifie et à Franck Leroy, nouvel élu régional en charge de la solidarité et de la qualité de vie, pour qu’il agisse pour le bien-être des usagers qui paient très chères pour un service non rendu.

Un de mes combats pendant les 45 années de mon engagement en politique à  été  La défense des services publics en France et dans ma ville Epernay.

En quelques années, Epernay à été fortement touché par la fermeture de :

-           La Banque de France.

-          Du 13ème RG, plus de 1000 familles qui achetaient chez nos artisans et commerçants locaux.

-          Du tribunal

-          Des ateliers SNCF (plus de 2000 salariés après la guerre).

-          Prochainement du bureau de poste de la Villa.

-          De fermetures de classes et d’écoles comme l’école maternelle Léon Bourgeois ou l’école Fontaine les Bergers etc.

-          Des menaces sur certains services de notre hôpital.

Avec la fermeture des services publics, les entreprises ne viennent pas sur Epernay,  de nombreux  commerces ferment,  la    population   quitte la ville et obligatoirement  les impôts  locaux et fonciers augmentent.

Avec le désengagement de l’Etat, c’est la mort des services publics dans les prochaines années.

 

Pour  faire revivre l’emplacement de l’ancien quartier des ateliers SNCF,,  notre liste conduite  par   Jérémie Thévenin aux municipales 2014  avait un projet municipal .

Notre position sur l'avenir de ce site.

( plus de 13 HECTARES) que le Maire souhaite offrir une fois de plus aux promoteurs privés pour en faire un quartier Margueritte bis, alors qu’il y a sur notre ville plus 1200 logements vides ( selon l’INSEE ) et des dizaines de commerces fermés. 
La révision du Plan local d’urbanisme est l’occasion de repenser notre ville en définissant l’utilisation de l’espace.
Dans ce nouveau quartier qui va remplacer les ateliers SNCF (près de 2000 salariés après la guerre) fermés à cause du manque de volonté politique des élus depuis des dizaines d’années, doit aujourd’hui revivre.
- Création d’un grand parc paysagé.
- Aménagement d’un parking de proximité.
- Constructions de maisons mitoyennes économes en énergie et en cohérence avec le bâti Sparnacien et des services de proximités.
- Création d’un musée de l’histoire industrielle des chemins de fers d’Epernay.
- Pépinières d’entreprises, etc.

vendredi 29 janvier 2016

Mon entretien avec Margaud Déclemy ,journaliste au journal l'Union -L'Ardennais


Mon interview  par Margaud  Déclemy du journal L’Union – L’Ardennais. 29.01.2016

SNCF, le cauchemar des usagers de la ligne  Epernay-Paris, aller -  retour.           

Gros problèmes de retard ou de suppression de trains de dernières minutes, sur la ligne Epernay-Paris «  aller-retour ».

J’ai constaté cette anomalie   en conduisant ma femme, enseignante  spécialisée, actuellement en formation sur Paris.

Les problèmes ne datent pas d’aujourd’hui, (Aux dires d’un agent SNCF et des usagers).

Il y a un problème depuis l’arrivée du TGV au détriment des TER (train express régional).

Les problèmes de la ligne TER vallée de la Marne ne datent pas d’aujourd’hui, mais de bien plus longtemps (au moins 9 ans). Ils ont commencés avec l’arrivée du TGV Est et le déclassement de l’ancienne grande ligne TER.

Depuis les usagers n’ont pu que constater la lente dégradation du service, malgré les échanges réguliers avec la direction de la ligne, et l’existence de nombreuses associations d’usagers des différentes villes traversées.

Et cela se concrétise par le manque de moyens pour  les TER, pour l’entretien des matériels et des voies, par la fermeture des petites gares.

Par la suppression à partir de février de la « Borne jaune » en gare d’Epernay. Cette borne était pratique pour obtenir un billet aux heures de fermeture des guichets.

Exemple des deux semaines écoulées :

Lundi 18 janvier : annulation du train de 7h32 pour Paris. Les voyageurs doivent prendre un TER pour Reims afin de  récupérer le TGV pour Paris. Une fois à Reims, ce tgv était lui aussi en retard. Train initialement annoncé avec un retard de 5 minutes, puis 15 minutes et enfin 30 minutes. Cependant, alors que la SNCF annonçait 5 minutes de retard, une collègue de ma femme qui avait pris ce tgv de Charleville-Mézières nous informait elle que ce tgv avait 35 à 40 minutes de retard et qu’ils étaient bloqués.

Mercredi 20 janvier : retard de plus de 30 minutes du train de 8h33 au départ d’Epernay.

Vendredi 22 janvier : retard de plus d’une demi-heure du train de 17h36 au départ de Paris.

Lundi 25 janvier : Annulation du train de 7h 32. Dans le hall de gare, un agent de la SNCF informe les voyageurs qu’ils n’ont pas le droit de prendre le ter pour Reims, puis le tgv à Reims. Quai B, le chef de gare déconseille de partir sur Reims prendre le tgv, car il est complet et il n’y a aucune place assise. Les gens partent quand même sur Reims et réussissent à monter à bord, puis vers Dormans il s’immobilise de nombreuses minutes. Résultat ; arrivée à Paris avec plus de 15 minutes de retard.

Mardi 26 janvier : train de 6h30 au départ en gare d’Epernay .Il est annoncé avec un retard de 45 minutes.

Jeudi 28 janvier : encore 15 minutes de retard à cause d’un panneau de signalisation à Meaux. Installation vieillissante ou mal entretenu.

Entre ces deux dates, retards dans les deux sens de plus de 30 minutes. Et souvent sans aucune explication.

J’ai vu des usagers en colère comme un certain Thierry, qui prend ce train depuis des années et qui constate cette anomalie fréquemment, et pire encore depuis quelques mois.

J’ai vu une femme en larmes, car son employeur menace de la licencier si ses retards dans l’entreprise ne s’arrangent pas.

J’ai vu un chef de gare, qui le pauvre en prend plein la figure et qui nous dit, que c’est comme cela depuis les fêtes, et il ajoute, en fait depuis plus d’un an.

A Epernay, il n’y a pas de plan B comme à Château-Thierry ou  les usagers on la possibilité de prendre un train dit de banlieue avec arrêt à toutes les gares entre Château Thierry et Meaux puis direct Paris.

Je me pose des questions que devrait se poser la SNCF :

1° : quelles sont les solutions alternatives pour faire face à ce problème.

2° : quelle vision à la SNCF pour l’avenir, avec la concurrence qui arrive.

3° : que fait la région qui finance grassement  les transports (avec l’argent du contribuable) pour que l’on ait  un service de qualité. Nos impôts doivent servir à l’amélioration  de nos services publics et non à l’enrichissement personnel de nos élus.

Je m’adresse au directeur de la SNCF pour qu’il se justifie et à Franck Leroy, nouvel élu régional en charge de la solidarité et de la qualité de vie, pour qu’il agisse pour le bien-être des usagers qui paient très chères pour un service non rendu.

Un de mes combats pendant les 45 années de mon engagement en politique à  été  La défense des services publics en France et dans ma ville Epernay.

En quelques années, Epernay à été fortement touché par la fermeture de :

-           La Banque de France.

-          Du 13ème RG, plus de 1000 familles qui achetaient chez nos artisans et commerçants locaux.

-          Du tribunal

-          Des ateliers SNCF (plus de 2000 salariés après la guerre).

-          Prochainement du bureau de poste de la Villa.

-          De fermetures de classes et d’écoles comme l’école maternelle Léon Bourgeois ou l’école Fontaine les Bergers etc.

-          Des menaces sur certains services de notre hôpital.

Avec la fermeture des services publics, les entreprises ne viennent pas sur Epernay,  de nombreux  commerces ferment,  la    population   quitte la ville et obligatoirement  les impôts  locaux et fonciers augmentent.

Avec le désengagement de l’Etat, c’est la mort des services publics dans les prochaines années.

mercredi 27 janvier 2016

Démission de Taubira ...enfin.


Jacky Blavier : Patriote  « Chevènementiste »

Je me réjouis du départ du gouvernement de Christiane Taubira. Elle aura été la pire ministre de la justice de la 5ème République. Christiane Taubira était la porte parole du laxisme depuis son arrivée au ministère de la justice. Elle était incompétente et n’était pas à sa place comme ministre de la justice. Souvent à l’assemblée ses propos étaient haineux.

 Mais maintenant, après la démission de Taubira , reste le problème de la politique  menée par  ce gouvernement.

Car les Français  subissent les effets des politiques menées par la droite et la gauche au pouvoir depuis des décennies, et qui ont conduit à ce qu’en  France :

- 6 millions de retraités vivent en dessous du seuil de pauvreté, soit 900 € par mois.*

 

-  33 % des Français  qui ne se soignent plus faute de moyens.

 

-  Plus 6 millions de chômeurs. (636 000  de plus depuis 2012).

 

-   Des Faillites de PME-PMI par milliers.

 

-   Plus d'un million de bénéficiaires inscrits au Restos du cœur.

 

-  Les classes moyennes qui payent toujours plus d’impôts, de taxes, de charges et qui voient une forte baisse de leur pouvoir d’achat.

 

-    Des Mauvais chiffres pour  la croissance et pour  la dette, etc.

 

-   Les pensions des retraités  bloquées depuis 2012, ainsi que les salaires.

mardi 26 janvier 2016

Aujourd'hui,visite de la Maison des parents et de l'enfant.


Aujourd’hui mardi 26 janvier : Visite avec  le Conseil des Sages d’Epernay de la Maison des Parents et de l’enfant, et de la Maison de l’Enfant « La Passerelle ».

Merci pour l’accueil et les explications à la directrice Nicole Gille et à toute l’équipe des deux structures.

 

                       Maison des Parents et de l'Enfant

Pour répondre à une demande croissante des familles et aller encore plus loin dans le dispositif de Réussite Educative, la Ville d’Epernay a ouvert, fin 2013, la Maison des Parents et de l’Enfant (MDPE). C’est un lieu ressource destiné à la famille (démarches de scolarisation, structures de petite enfance, lieux de soins...), aux enfants ainsi qu’aux acteurs institutionnels et associatifs du soutien à la fonction parentale.

Les familles et leurs enfants y trouvent plusieurs services :

Des espaces d'échanges et de partage

Information sur l'éducation en direction des familles (démarches de scolarisation, structures de petite enfance, lieux de soins…)

Accompagnement des parents dans le cadre du Dispositif de Réussite Educative.

Organisation d'ateliers et de rencontres entre parents et professionnels pour permettre d’échanger sur les préoccupations de chacun et construire ensemble des solutions

 

                   MAISON DE L'ENFANT "LA PASSERELLE"


"La Passerelle" : Lieu d'accueil conjoint parents-enfants (0-3 ans). Lieu sécurisant entre l'espace familial et l'espace social qui a pour objectifs: la prévention précoce des troubles psychosociaux ds jeunes enfants, la préparation aux séparations futures (crèche, halte-garderie, entrée à l'école maternelle), l'ouverture à la socialisation, l'accompagnement à la parentalité.

"La grande Passerelle" : accueil des frères et sœurs  de 3 à 6 ans dans un lieu d'éveil culturel ; développer la réussite scolaire par l'égalité des chances.

"Le Jardin des Mots" : action bain de langage pour les jeunes enfants et leur famille issue de l'immigration.

SNCF, le cauchemar des usagers de la ligne Epernay-Paris


 Ancien conseiller municipal et communautaire.

Président du Comité « OBJECTIF 2020 »

SNCF, le cauchemar des usagers de la ligne  Epernay-Paris, aller – retour.           

Gros problèmes de retard ou de suppression de trains de dernières minutes, sur la ligne Epernay-Paris «  aller-retour ».

J’ai constaté cette anomalie   en conduisant ma femme, institutrice spécialisée, actuellement en formation sur Paris.

Les problèmes ne datent pas d’aujourd’hui, mais de plus d’un an.( aux dires d’un agent SNCF et des usagers).

Exemple des deux semaines écoulées :

Lundi 18 janvier : annulation du train de 7h32 pour Paris. Les voyageurs doivent prendre un TER pour Reims afin de  récupérer le TGV pour Paris. Une fois à Reims, ce tgv était lui aussi en retard. Train initialement annoncé avec un retard de 5 minutes, puis 15 minutes et enfin 30 minutes. Cependant, alors que la SNCF annonçait 5 minutes de retard, une collègue de ma femme qui avait pris ce tgv de Charleville-Mézières nous informait elle que ce tgv avait 35 à 40 minutes de retard et qu’ils étaient bloqués.

Mercredi 20 janvier : retard de plus de 30 minutes du train de 8h33 au départ d’Epernay.

Vendredi 22 janvier : retard de plus d’une demi-heure du train de 17h36 au départ de Paris.

Lundi 25 janvier : Annulation du train de 7h 32. Dans le hall de gare, un agent de la SNCF informe les voyageurs qu’lis n’ont pas le droit de prendre le ter pour Reims, puis le tgv à Reims. Quai B, le chef de gare déconseille de partir sur Reims prendre le tgv, car il est complet et il n’y a aucune place assise. Les gens partent quand même sur Reims et réussissent à monter à bord, puis vers Dormans il s’immobilise de nombreuses minutes. Résultat ; arrivée à Paris avec plus de 15 minutes de retard.

Mardi 26 janvier : train de 6h30 au départ en gare d’Epernay .Il est annoncé avec un retard de 45 minutes.

Entre ces deux dates, retards dans les deux sens de plus de 30 minutes. Et souvent sans aucune explication.

J’ai vu des usagers en colère comme un certain Thierry, qui prend ce train depuis des années et qui constate cette anomalie fréquemment, et pire encore depuis quelques mois.

J’ai vu une femme en larmes, car son employeur menace de la licencier si ses retards dans l’entreprise ne s’arrangent pas.

J’ai vu un chef de gare, qui le pauvre en prend plein la figure et qui nous dit, que c’est comme cela depuis les fêtes, et il ajoute, en fait depuis plus d’un an.

A Epernay, il n’y a pas de plan B comme à Château-Thierry ou  les usagers on la possibilité de prendre un train dit de banlieue avec arrêt à toutes les gares entre Château Thierry et Meaux puis direct Paris.

Je me pose des questions que devrait se poser la SNCF :

1° : quelles sont les solutions alternatives pour faire face à ce problème.

2° : quelle vision à la SNCF pour l’avenir, avec la concurrence qui arrive.

3° : que fait la région qui finance grassement  les transports (avec l’argent du contribuable) pour que l’on ait  un service de qualité. Nos impôts doivent servir à l’amélioration  de nos services publics et non à l’enrichissement personnel de nos élus.

Je m’adresse au directeur de la SNCF pour qu’il se justifie et à Franck Leroy, nouvel élu régional en charge de la solidarité et de la qualité de vie, pour qu’il agisse pour le bien-être des usagers qui paient très chères pour un service non rendu.

Rohani le sanguinaire chez Hollande

 
- C'est les bras chargé d'un bien lourd bilan de violences faites aux femmes que Rohani arrive à Paris les 27 et 28 janvier 2016. Bilan qui transparait dans un tableau lugubre : depuis son entrée en fonction en Iran, Rohani a fait pendre 63 femmes. Ce chiffre à lui seul mérite une vigoureuse indignation tant il traduit la misogynie légalisée par la dictature religieuse en Iran. Or ce n'est pas tout.
En effet à regarder de près ce tableau, on s'aperçoit que les mollahs qui ont institutionnalisé les violences faites aux femmes, prennent plaisir à les exécuter par groupes.
A titre d'exemple le 19 septembre 2013, trois femmes étaient pendues à Yazd dans le centre de l'Iran, et le 22 septembre trois autres les suivaient sur la potence. Le 20 juillet 2014 c'étaient 4 femmes exécutées à Birjand, dans l'Est du pays. Le 1er janvier 2015, alors que le monde célébrait la nouvelle année, quatre femmes étaient pendues à Bam, ville terriblement touchée par un séisme il y a quelques années. 
Parmi toutes ces victimes, la jeune Reyhaneh Jabbari exécutée le 25 octobre 2014, parce qu'elle avait tué, en légitime défense, l'homme qui la violait. Comme il était agent du renseignement, elle n'a eu aucune chance de s'en sortir. Tout un symbole.
Au tableau des futures victimes en Iran, on trouve aussi une femme condamnée à la lapidation le 5 décembre. Rohani a fait voter une loi ignoble qui autorise un tuteur à épouser sa fillette adoptive, légalisat la pédophilie, déjà bien lancée avec le mariage des très petites filles.
On se souviendra aussi que c'est Rohani qui a fait entrer en vigueur le voile obligatoire dans les administrations en Iran et qu'il en très fier. 
Passons sur les multiples lois qui persécuent les femmes pour leur apparence vestimentaire, leur interdiction de chanter en public et d'entrer dans les stades.
Voici donc celui qui va fouler le tapis rouge, du sang des femmes, à Paris. C'est pourquoi les femmes seront très nombreuses à venir manifester sur la Place Denfert Rochereau à Paris le 28 janvier à 13H contre les exécutions en Iran, et l'apartheid qui touche les femmes dans ce pays.
Le minimum d'éthique est d'exiger des autorités françaises qu'elles demandent la fin des exécutions en Iran comme condition de la reprise des relations avec cette dictature religieuse. 

jeudi 21 janvier 2016

Souvenir de cette belle campagne de 2002.


Souvenir de cette belle campagne de 2002.


La belle campagne de 2002 autour du CHE.


 
Souvenir de cette belle campagne de l’élection Présidentielle de 2002, autour de notre candidat Jean-Pierre Chevènement.
Nous avions avec nous :                 
Apolline de Mallerbe journaliste, aujourd’hui sur  BFM Après des études de lettres, elle passe un DEA de sociologie politique[3] et un master en service public. Engagée politiquement, elle soutient la candidature de Jean-Pierre Chevènement en 2002.

Natacha Polony,Elle devient, en juin 2001, secrétaire nationale du Mouvement des citoyens (MDC) aux questions de société, puis membre du bureau du Pôle républicain, chargée du droit des femmes. En juin 2002, elle est candidate aux législatives pour le Pôle républicain de Jean-Pierre Chevènement, dans la 9e circonscription de Paris.

Depuis septembre 2012, elle tient la revue de presse de h 30 sur Europe 1. Elle quitte alors la rédaction du Figaro, mais continue de publier une chronique hebdomadaire dans les pages « Débats & opinions » de l'édition du week-end.

Elle est chroniqueuse au Grand Journal de Canal+ depuis le lundi 25 août 2014[11]. Elle quitte l'émission à la fin de la saison 2014-2015 pour en animer une sur Paris Première, Polonium[.][]

Le 29 mai 2015, elle crée le Comité Orwell.

En septembre 2015, elle succède à Michel Field et co-anime le samedi de 10 h à 11 h le magazine Médiapolis sur Europe 1, avec Olivier Duhamel[.]

Elle collabore encore avec l'hebdomadaire Marianne en lançant un appel à la « Résistance Française » après les attentats parisiens du 13 novembre 2011.

Élève à HEC, Florian Philippot préside le comité Grandes écoles d'une douzaine de personnes autour de Jean-Pierre Chevènement, candidat à l'élection présidentielle de 2002, et dont le slogan est « HEC avec le Che », surnom de Jean-Pierre Chevènement.

Lucie Aubrac, résitante était  en 2001, présidente du Comité national de soutien à la candidature présidentielle de Jean-Pierre Chevènement.

L’ancien ministre, Anicet Le Pors,Élu au comité central du PCF en 1979, il en démissionne en 1993 et quitte le PCF en 1994. Il participe en 1990 au mouvement « Refondation » tendant à la transformation du Parti communiste français. Il se présente aux élections européennes de 1994 sur la liste « L'autre politique ». Cette liste conduite par Jean-Pierre Chevènement, Gisèle Halimi et Anicet Le Pors se réclame de l'opposition de gauche au traité de Maastricht.

L’ancien ministre du Général De Gaulle, Jean Charbonnel. Après 1974, il se rapproche progressivement de la gauche. Jean Charbonnel eut souvent des rapports conflictuels avec le mouvement gaulliste (notamment avec Jacques Chirac, autre élu de Corrèze)[2] jusqu'à ce que le parti gaulliste lui oppose un candidat qui le battra à l'élection législative de 1993 et à l'élection municipale de 1995. En 2002, il a soutenu la candidature de Jean-Pierre Chevènement à l'élection présidentielle.

Mais également François Berléand, acteur, Patrick Besson, écrivain, Dominique Cabrera, cinéaste, Edmonde Charles-Roux, présidente de l'académie Goncourt
Jean Clair, historien d'art, Catherine Clément, écrivain, Pierre Combescot, écrivain, Régis Debray, intellectuel, Jean Dutourd, écrivain  , Max Gallo, historien, Louis Gallois, PDG de la SNCF, Alain Gomez, ancien PDG de Thomson, Eric Halphen, magistrat, MichelHouellebecq, écrivain, Bernadette Lafont, actrice,  André S. Labarthe, cinéaste, Sébastien Laplaque, écrivain, Jean-Hervé Lorenzi, économiste, Jean-Pierre Mocky, réalisateur, Roland Moreno, entrepreneur , Tobie Nathan, psychiatre, Dominique Noguez, écrivain, Ernest Pignon-Ernest, peintre, Angelo Rinaldi, académicien, Pierre-André Taguieff, historien des idées, philosophe, politologue, directeur de recherche au CNRS, François Taillandier, écrivain, Marc Veyrat, chef cuisinier.

                                          Liste des 100 premiers signataires

 

Edmonde Charles-Roux - Lucie et Raymond Aubrac - Christian Bauer (équipe de France de sabre) - Jeannine Bazin – Roland,Bertin (sociétaire de la Comédie française) - Guillaume Bigot (enseignant, écrivain) - Anne-Marie Blanzat (cantatrice) - Pierre de

B o i s d e ff re (écrivain) - Guy Bois (historien) - Jacques-Marie Bourget (journaliste) - Jacqueline Bourget-Merakchi (universitaire) -

François Bouvier (universitaire) - Gaël Brustier (Appel d’R) - Henri Caillavet Dominique Cabrera (cinéaste) - Joseph Ciccolini(avocat) - Jean-Claude Chesnais (démographe) - Catherine Clément (philosophe) - Jean Clair (conservateur) - Jean-Pierre Clapin,

(Conseiller honoraire du CES) - Philippe Cohen (journaliste) - Robert Colonna d’Istria (historien) - Pierre Combescot (écrivain) -Jean-François Colosimo (théologien) - Guy Coq - Charles Coutel (universitaire) - Pierre Dabezies - Régis Debray - Michel Delorm e

(Éditeur) - Béatrice Decoster-Mallet (nouvelle union démocratique du travail) - François Devoucoux-du-Buysson (écrivain essayiste)- Marc Espié (médecin) - Marc Ferro (historien) - Michel Fichant (philosophe) - Max Gallo - Pierre-Marie Gallois (général cr) -Françoise Gaillard (philosophe) - Claude Gaucherand (contre-amiral cr) - Gilbert Gross (ancien résistant) - Patrick Guiol (univers

i t a i re) - Guy Hennebel (directeur de la revue Panoramiques) - Edouard Husson (historien) - Dominique Jamet (journaliste) -

Patrick Kessel - Marcelo Kohen (universitaire) - André S. Labarthe (cinéaste) - Gérard Lafay (économiste) - Bernadette Lafont(Comédienne) - François Lardeau (vice-président de l’Académie du Gaullisme) - Dominique Lecourt - Jean Lelong (arbitre internationalde hand ball) - Robert Longeon-Delassiste (chercheur) - Marcel Marçais (ancien administrateur) - Jean Maçon (journ aliste)- David Martin-Castelnau (Génération république) - Pierre Maillard (Ambassadeur de France) - Pierre-Marie Merillon(Ambassadeur de France) - Claude Marti (conseiller en communication) - Jérome Maucourant (universitaire) - Jean-Luc Menet( u n i v e r s i t a i re) - Roland Monnet (enseignant) - Paul Montcornet (essayiste) - François Morvan (cancérologue) - Claude Nicolet( m e m b re de l’Institut) - Jean-Jacques Payan (ancien directeur général du CNRS) - Henri Pena-Ruiz (philosophe) - Jean-ClaudeP errot (responsable associatif) - Emmanuel Pierrat (avocat, éditeur) - Ernest Pignon-Ernest (artiste plasticien) - Etienne Pion (re sponsablede mouvements laïcs) - Gérard Prigent (commandeur des cordons bleus) - Jean Pourcin (universitaire) - René-Vi c t o r

Pilhes (écrivain) - Serge Rechter (économiste) - Robert Redeker (philosophe) - Laurent Roth (cinéaste) - Gaëtan de Royer (cerc l eSaint-Just) - Jean-Pierre Rozelot (scientifique) - Jacques Ruffié (membre de l’Institut) - Danièle Sallenave (universitaire, écrivain)- Albert Salon (ancien ambassadeur) - Marie-Claire Scamaroni - Yohan Senez (cercle Saint-Just) - Pierre-André Ta g u i e ff (universitaire) - François Taillandier (écrivain) - Arsène Tchakarian (officier de la résistance, groupe Manouchian) - François Teillet - MichelTroper (universitaire) - Claude Truchot (universitaire) - Hassan Zaoual (vice-président de Cultures d’Euro p e )