Français de l'étranger
Simplifier l’éligibilité des familles aux bourses
Les reconnaître et défendre leurs droits
Mieux reconnaître et défendre les droits
des Français de l'étranger
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L'école de la République doit être
garantie aux jeunes Français de l'étranger
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Les plans écoles peuvent donner lieu à la création de nouveaux établissements,
la conclusion de partenariats locaux, l’ouverture de classes bilingues, etc.
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-Mettre en place une tarification différenciée entre ressortissants
Français et non Français pour l’accès aux établissements français à l’étranger.
Le principe serait, a minima, de faire payer les formations à leur coût réel pour
les étudiants non Français avec pour objectif de dégager des ressources
financières supplémentaires pour les établissements. Cette tarification
différenciée suppose d’engager en parallèle des actions de communication sur la
qualité de l’offre éducative française et sur les services proposés aux élèves.
-Augmenter le nombre de bénéficiaires de bourses qui ne concernent que 5 % à 7 % des enfants français scolarisés à l’étranger. En 2014, les bourses représentaient 125M€ d’engagements budgétaires pour près de 22000 bénéficiaires, soit une moyenne de 5682 € (avec cependant une amplitude vaste en fonction des régions). Les crédits ont été réduits à 106M€ en 2016. Un objectif d’augmentation de 10% des bénéficiaires (soit 24000 boursiers) supposerait donc un retour à un budget de 116M€. Il faudrait alors dégager 10M€ par des économies sur les frais de fonctionnement notamment grâce à la hausse des ressources propres liées à la tarification différenciée. Les chefs d’établissements recevront des consignes dans ce sens et les ambassadeurs veilleront directement à leur respect. Une évaluation à mi-mandat sera engagée.
-Simplifier l’éligibilité des familles aux bourses en révisant les critères d’attribution, en luttant contre les effets de seuil pervers (familles dont les revenus sont trop élevés pour prétendre à une bourse et qui ne bénéficient pas de l’aide d’entreprises aux expatriés) et en développant les contrôles.
-Modifier le statut de certains établissements qui pourraient prendre celui de fondations (régime de droit français).
-Trouver une nouvelle forme de partenariat public-privé avec des entreprises françaises, locales, des fondations de type Alliance française, des
-Augmenter le nombre de bénéficiaires de bourses qui ne concernent que 5 % à 7 % des enfants français scolarisés à l’étranger. En 2014, les bourses représentaient 125M€ d’engagements budgétaires pour près de 22000 bénéficiaires, soit une moyenne de 5682 € (avec cependant une amplitude vaste en fonction des régions). Les crédits ont été réduits à 106M€ en 2016. Un objectif d’augmentation de 10% des bénéficiaires (soit 24000 boursiers) supposerait donc un retour à un budget de 116M€. Il faudrait alors dégager 10M€ par des économies sur les frais de fonctionnement notamment grâce à la hausse des ressources propres liées à la tarification différenciée. Les chefs d’établissements recevront des consignes dans ce sens et les ambassadeurs veilleront directement à leur respect. Une évaluation à mi-mandat sera engagée.
-Simplifier l’éligibilité des familles aux bourses en révisant les critères d’attribution, en luttant contre les effets de seuil pervers (familles dont les revenus sont trop élevés pour prétendre à une bourse et qui ne bénéficient pas de l’aide d’entreprises aux expatriés) et en développant les contrôles.
-Modifier le statut de certains établissements qui pourraient prendre celui de fondations (régime de droit français).
-Trouver une nouvelle forme de partenariat public-privé avec des entreprises françaises, locales, des fondations de type Alliance française, des
Valoriser l'emploi et le pouvoir d'achat
des Français de l'étranger
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