samedi 8 avril 2017

Projet NDA pour la cohésion nationale


Cohésion nationale

Conditionner les aides sociales à 5 ans de présence sur le sol français

Garantir la laïcité et maîtriser l’immigration

Maîtriser les flux migratoires

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Il ne s’agit pas de créer des files d’attente interminables aux frontières mais de profiter des nouvelles technologies (portiques de sécurité, contrôles aléatoires, capteurs de reconnaissance de plaques minéralogiques…) pour protéger notre territoire.

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• Centraliser la procédure contentieuse entre les mains du juge administratif et augmenter le délai maximal de rétention administrative de 45 jours à 12 mois (le délai est de 8 mois en Belgique, 6 mois en Autriche et 18 mois en Allemagne…) pour les étrangers faisant l'objet d'une procédure d'éloignement et ne pouvant quitter immédiatement la France. Actuellement, le juge des libertés et de la détention n'accorde la rétention administrative que de manière aléatoire. Il doit être clair que sauf raison humanitaire avérée, tout immigré en situation irrégulière sera reconduit dans son pays, sans perspective de régularisation.
• Améliorer la coopération avec les autorités des pays de migration et passer notamment le taux global de délivrance des laissez-passer consulaires de 35 à 80 %.

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* Un Algérien peut en effet demander le regroupement familial pour des enfants recueillis par kafala judiciaire (sorte de délégation de l'autorité parentale spécifique au droit musulman), dans l'intérêt supérieur des enfants. Ce régime d’exception va à l’encontre des principes élémentaires de laïcité.

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* Au terme de ses études, l’étudiant retourne dans son pays sauf besoin précis de la France. La meilleure façon d’aider les pays en développement est de former leurs jeunes afin qu’ils y retournent.

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• Limiter le droit d’asile aux individus le demandant aux frontières. Il ne peut être en aucun cas attribué après quelques semaines de clandestinité.
• Réduire les délais entre la demande et son examen : faire passer cette durée de 2 ans à 2 mois en organisant un filtrage des demandes par les Préfets de manière à ce que l’OFPRA et la CNDA n’aient plus à examiner que les demandes raisonnables et puissent ainsi le faire de manière plus approfondie (objectif : passer de 80 000 demandes examinées à 30 000).
• Réaffirmer, en s’appuyant sur la convention de Genève, que le droit d’asile est accordé pour des menaces à titre individuel (autrement, il s’agit de la protection subsidiaire). Les réfugiés de guerre ont vocation à retourner dans leur pays une fois la paix rétablie.
• Assigner à résidence les demandeurs d’asile. Il s’agit à la fois de considérations humanitaires et sécuritaires : il est anormal de ne pouvoir localiser les demandeurs d’asile.
• Eloigner immédiatement les demandeurs d’asile en cas de refus par l’OFPRA et la Commission nationale du droit d'asile d’accorder le droit, ce qui est mal fait à l’heure actuelle. Aucune régularisation n'est envisageable dans le cas des demandeurs d'asile déboutés.

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Travailler avec nos partenaires pour mettre un coup d’arrêt à l’émigration massive d’étrangers vers la France et promouvoir un vrai développement du c

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* (qui compte 1,2 milliard d’habitants et dont la population atteindra 2,4 milliards d’habitants en 2050 soit 25% de l’humanité) : pour cette raison, nous proposons une coopération privilégiée avec l’Espagne, l’Italie, le Maroc, la Tunisie et l’Algérie.

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* Les migrants en difficulté seront secourus en mer et raccompagnés à leur point d'embarquement où leur demande d'asile éventuelle sera étudiée.

Limiter l’appel d’air induit par nos aides sociales et économiques

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* Nous nous montrerons intraitables envers ceux qui :
• Embauchent des travailleurs étrangers dépourvus de permis de travail.
• Favorisent l’immigration clandestine des travailleurs.
• Simulent un contrat, une colocation ou se livrent à toute autre tromperie de nature à favoriser l’immigration illégale.

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Redonner un sens au fait de devenir Français et refuser le communautarisme et garantir la laïcité

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* Nous proposons d’engager des discussions directement avec tous les imams de France, dont le nombre est évalué entre 1500 et 2000, et avec tous les responsables des associations de gestion des mosquées et des associations représentées au CFCM. Cela représente environ 4 000 personnes à contacter, ce qui ne pose pas de problème avec Internet. Ces discussions auraient pour objectif d’obtenir de ces représentants musulmans un accord conforme aux lois de la République portant sur six points :


I. L’égalité entre les hommes et les femmes

II. La liberté d’expression : le droit de critiquer une religion doit rester absolu. Il faut demander aux imams de se désolidariser explicitement et de condamner les fatwas qu’émettent certains dignitaires musulmans contre des personnalités dont les écrits ne leur plaisent pas.

III. Le financement des mosquées : Le financement des lieux de culte est à revoir de fond en comble. Les financements étrangers des lieux de culte seront interdits.

IV. La formation des imams : Il est anormal que dans certaines mosquées, les imams soient des Marocains, des Turcs ou des Algériens, formés hors de France, payés par l’étranger, et ne parlant pas français.

V. L'abattage rituel : Les musulmans doivent accepter l'étourdissement des animaux.

VI. L'apostasie : Les autorités musulmanes françaises doivent admettre l'apostasie comme une possibilité normale.
 
 

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• Exiger 10 ans de résidence habituelle en France (actuellement entre 0 et 5 ans), cette durée est un minimum pour évaluer l'assimilation effective d'une personne.
• Renforcer le niveau d'assimilation, de connaissance de la langue française et d’adhésion aux valeurs de la République par le biais du service civique obligatoire de 3 mois (auquel participent également tous les jeunes Français) et tenir compte du mérite individuel dans l'appréciation des conditions de naturalisation.
• Rejeter toute demande d’individu ayant été condamné pénalement en France ou à l’étranger.
• Voter chaque année au parlement un plafond de naturalisation.

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* En outre, le demandeur devra avoir effectué son service civique.

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* En outre, les entreprises pourront inscrire dans leurs règlements intérieurs une interdiction générale et absolue de porter tout signe religieux.

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* Les valeurs de la France sont la base de son vivre ensemble, elles ne sont pas négociables.

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